Cobra Fantastic

Moitié bande dessinée, moitié Space Opera, Edifice Wrecks, le premier LP de Cobra Fantastic, suit une prêtresse guerrière, son soldat renégat et ancien amant, un robot géant capable de raser des villes entières, un fermier de fil dentaire, la navette spatiale la plus rapide de la galaxie, et une guitare démoniaque alors qu’ils luttent pour maintenir l’équilibre de la Funkabopulation dans l’univers. C’estHeart of Darkness croisé avec Mars Attacks, raconté dans le langage du funk et du jazz, et porté parles grooves les plus funky de ce côté de Zargon VII.

Cobra Fantastic : Intergalactic Grooves from Planet 9

Qui aurait cru que les zikos les plus funky, les plus groovy, les plus « bad » de Paris étaient en réalité des extraterrestres venus de la planète 9 avec comme seule et unique mission de faire vibrer l’espèce humaine sur les ondes de la Funkabopulation ?
Cet ovni parisien piloté par guitariste/compositeur David Garlitz est un véritable
« super group » de la scène jazz française, réunissant Karl Jannuska, Thomas Savy, David Prez, Josiah Woodson, Benjamin Asnar, et Sarah-Lane Roberts à bord d’un vaisseau mère qui navigueentre les univers de Parliament Funkadelic, de Frank Zappa, de Steely Dan, ou bien de Sun Ra.

Son nouvel album « Edifice Wrecks », débordant de grooves serpentins à la fois entrainants et intrigants, sortira le 22 mars 2024, avec en guests le percussionniste Nils Wekstein et le clavieriste philadelphien Lucas Brown